DERNIERE MINUTE   Au moment où vous recevez et lisez ce n° 11 du Vecteur Libre et Indépendant, 4 de nos collègues ont vu leur emploi supprimé, et ont reçu leur arrêté les déclarant "en surnombre", par des gens qui veulent une société dans laquelle il y a toujours beaucoup de gens en surnombre... MM. d’Aubert et Bonet empêchent systématiquement leur reclassement. Des postes se sont libérés en raison de départs, des postes vont être occupés par des recrutements contractuels. MM. d’Aubert et Bonet ont même retiré une annonce de recrutement d’un directeur de la communication car un de nos collègues, directeur territorial dont le poste vient d’être supprimé, postulait et était prioritaire par l’article 97 de la loi du 26 janvier 1984 qui organise notre statut. Tous les moyens sont bons pour MM. d’Aubert et Bonet pour tenter de mettre en oeuvre leur mauvais coup. La justice va être saisie. C’est l’Etat de droit républicain qui est aussi en cause dans cette affaire. Ce combat nous concerne tous.

M. BONET a décidé que nos 4 collègues placés "en surnombre" n’avaient pas besoin de venir travailler. Ainsi, le contribuable lavallois paiera 4 cadres expérimentés à rester chez eux. C’est illégal. C’est aussi un profond mépris pour la fonction publique et pour les personnes. Heureusement, MM Bonet et d’Aubert font des heures sup : les arrêtés de suppression de poste sont du 16 août (un dimanche !!!).