Histoire de casquette, chapeaux et bonnets

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"L'organe qui combat le mépris et les minables"

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HISTOIRE DE CASQUETTES, CHAPEAUX ET BONNETS

 

Le Vecteur vous rappelait dans son dernier numéro, l'achat croquignolet des casquettes pour les agents des Services Techniques.

Cela n'a rien d'étonnant car si vous observez bien, une des grandes difficultés aujourd'hui pour la Municipalité consiste justement à trouver une coiffe pour chaque tête... Choix bénéfique ou choix délétère ? Un vrai casse-tête.

N'y aurait-il pas même de favoritisme, plusieurs casquettes étant parfois attribuées à la même tête (C.C.A.S., Sport, Culture ... ) ? Dans ce cas, nous pouvons croire qu'il s'agit, bien entendu, d'un couvre-chef, de quoi attraper ... la grosse tête ! D'aucuns se voient attribuer la Toque de Chef, distinction suprême pour cuisinier de grand talent. Tenez, même certaines commissions, comme la Culture par exemple, fonctionnent de façon quasi "unitête". Alors là, chapeau ! De là à travailler du ... mais restons sérieux.

L'important tout de même est de ne pas se voir mettre tous la tête sous le même bonnet. Bref, à chacun sa coiffe. Comme le disait un homme sage, l'avantage du bonnet comme du béret, c'est qu'ils n'ont pas de sens. L'Histoire leur en a cependant donné un : bonnet phrygien ou bicorne d'académicien, béret de marin ou bonnet d'âne, bonnet de nuit ou à poil, chapeau claque ou coup de chapeau, ou encore les fameux Chapeaux et Bonnets des diètes suédoises.

MORALITE : pour ne pas avoir la tête près du bonnet, choisissez une bonne casquette munie d'une large visière afin de ne pas vous laisser éblouir !!! Dernier conseil : pour garder la tête froide ... adhérez à FORCE OUVRIERE.

 

 

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