Le retour d'Alfred Sirven ne ferait pas que des heureux, paraît-il...

La publication de son agenda par la presse est la première manifestation de la vérité : si un personnage éminent de la Mairie de Laval y figure, il n'y a pas trace, en revanche, des employés municipaux. Et comme l' a si bien déclaré un responsable politique, pourtant ami de M. d'Aubert, "y être n'est pas une preuve de culpabilité, mais ne pas y figurer est une preuve d'innocence ! "

Mais que nous chantez-vous là, diront certains ? quel rapport entre les fonctionnaires de la Ville de Laval et M. Sirven ? et ne sommes-nous pas en train de passer de l'action syndicale à l'action politique ? que nenni !

Souvenez-vous : dans l'Express du 18 mars 1999, M. d'Aubert avait été amené à s'expliquer, déjà, sur une de ses connaissances, le brave Alfred, "un personnage culotté, peu impressionnable, très sympathique" (NDLR : il n'en dit pas autant de certains d'entre-nous...). Et l'Express de préciser en parlant de M. Sirven après l'interview de d'Aubert : "Il n'hésitait pas à offrir, chaque veille de Noël, des cadeaux Moulinex aux employés de la Ville de Laval ".