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Nos deux ex-surnombres ont profité du passage du tour de France à Laval pour investir la caravane publiciaire Force Ouvrière. Le Voyage fut passionnant entre Nantes et Laval, et le public enthousiaste à la vue des couleurs du syndicat Force Ouvrière tout au long du parcours.
Une seule personne sembla surprise en voyant les véhicule Force Ouvrière, puis hébétée lorsqu'elle découvrit l'identité des passagers qui lui faisaient des grands signes. Il s'agit du Secrétaire Général en personne, Jean Pierre Bonet, croisé juste sur la ligne d'arrivée. Peu de temps après, le personnel de sécurité de l'organisation l'évacuait de la piste malgré ses protestations. Nous ne saurons jamais pourquoi : aurait-il été assimilé à un syndicaliste trop enthousiaste au point de franchir les barrières de sécurité pour saluer ses camarades ? |
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Mal informé et obstiné !
Dans sa propagande, M. d'Aubert s'obstine à gonfler le nombre des employés municipaux de la Ville de Laval.
Ainsi, une fois de plus, dans une luxueuse brochure sur la "baisse" des impôts, distribuée aux lavallois le 8 novembre, il parle des 1700 employés municipaux (sous-entendu, sans doute : s'ils étaient moins, on baisserait encore plus les impôts...).
Aussi, une fois de plus, nous lui rappelons qu'il y a 1271,37 agents municipaux, et 155,39 emplois précaires. Ce nombre a été clairement arrêté lors du CTP du 7 janvier 1999.
M. d'Aubert ne connaît donc pas plus le nombre de ses salariés, qu'il ne sait qu'ils sont aux 35 h depuis 15 ans ! A ce propos, il a récidivé dans la Gazette des Communes n°39, en date du 18 octobre 1999 (donc 1 mois après son fameux article dans le Parisien-Aujourd'hui). Il y est écrit que notre futur passage aux 35 h coûtera le 1/4 de la Taxe d'habitation... |
Place nette pour un beau mariage
Monsieur le premier adjoint au maire de Laval mariait sa fille le samedi 11 septembre. La célébration eût lieu en la Cathédrale de Laval sous un soleil radieux. Les plus hautes personnalités de la Ville s'étaient donné rendez vous à cette occasion : la présence du maire et de plusieurs de ses adjoints fût tout particulièrement remarquée. Les invités, fort nombreux, n'eurent aucune difficulté à stationner leurs limousines sur la place de la Cathédrale d'ordinaire si encombrée. Une forêt de panneaux d'interdiction de stationner, placés par les employés municipaux dès la veille, avait dissuadé les autres automobilistes d'y rester. Quelques récalcitrants, très observateurs, n'ont cependant pas cru devoir libérer les lieux, et à juste titre puisqu'aucun arrêté municipal n'avait été pris pour interdire le stationnement, s'agissant d'une cérémonie de nature privée et religieuse. Malgré ce détail, révélateur de la confusion qui règne dans les services municipaux, ce fut un beau mariage . Le Vecteur adresse ses félicitations aux nouveaux époux... |
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